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L’aventure commence avec La féerie des haines, pierre angulaire de notre rencontre

un texte hors norme,

véritable déflagration poétique conçue

comme une épopée musicale radicale.

Photographie Emilie Tillier

Richard Graille

 

Au détour d'une rampe d'escalier, il entend pour la première fois un riff de guitare s'échapper d'un pallier, électrifiant tous le quartier. C'est le déclic. Richard veut jouer de la guitare. Il a 9 ans. Les premiers accords, les premiers poèmes sont nourris par le roulis des trains, les airs d'opéra et le tam-tam de ses amis centrafricains. La suite est tissée de rencontres, de voyages. Que ce soit ses écrits, le Transsibérien de Blaise Cendrars, Lisbonne revisitée de Fernando Pessoa, Baudelaire, Rimbaud, le facteur Jules Mougin ou Robert Piccamiglio sa vie est musique en poésie.

 

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Mathieu Nantois

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« Il quitte le paysage, les grands espaces. Échange manche de pioche contre manche de corde basse. Arrivé à Tours, il projette des sons sur la toile des cinémas Studio, accompagnant films muets ; met des sons en scène, pour La Petite Compagnie ; rejoint le vent nomade de Kalo Balval pour jouer les musiques traditionnelles des Balkans ; explore la musique acousmatique pour le Temps Machine et le musée des Beaux Arts de Tours et continue à travers, ses tableaux, d’écouter des paysages, des grands espaces. "

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Éric Recordier

 

En parallèle à des études classiques de contrebasse, influencé par le jazz et les musiques expérimentales, il explore les possibilités de son instrument. Ses orientations mélodiste et bruitiste l’ont amené à travailler, tant en solo que dans plusieurs projets collectifs, du classique à la musique improvisée, en tant que compositeur et arrangeur pour notamment le documentaire, le théâtre et particulièrement le théâtre visuel et la poésie .

https://ericrecordier.bandcamp.com

 

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Robert Piccamiglio

 

Né pour mémoire de parents italiens, l’année de la victoire de Fausto Coppi sur le Giro et le Tour de France,

Piccamiglio n’est en rien coureur cycliste, il n’a ni le coffre, ni les jambes,

mais simplement l’auteur d’une cinquantaine de livres abordant tous les genres :

poésie, théâtre, récits, nouvelles, chroniques, romans, le tout publié chez une vingtaine d’éditeurs différents.

Malgré ou à cause de cela, il continu envers et contre tout à jouer au chasseur de tempêtes.

Entendez par là : à travailler (Il ne dit jamais « écrire ») Se posant depuis toujours la question

de savoir si l’éternité aura la capacité à reconnaître les siens.

 Photographie Didier Devos

contact

          09.81.43.22.39.

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Photographies Jean-Marie Carrel
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